alors il n'a pas trop détaillé cette patho cette année dans la ronéo effectivement mais en regardant sur internet sur le site du campus de neurochirurgie j'ai trouvé que les troubles génito-sphinctériens font bien parti des symptômes du syndrome de la queue de cheval je te joins un passage du document :
Les troubles moteurs :
Abolition de la contracture anale volontaire au toucher rectal.
Les réflexes :
Abolition du réflexe anal (S3-S5) et du réflexe bulbo-caverneux (S3-S4)
Troubles génito-sphinctériens :
Difficulté à uriner, nécessité de pousser pour la miction. Rétention d’urine.
Attention : les pseudo-incontinences urinaire sont des mictions par regorgement.
Cette rétention n’est pas douloureuse (troubles sensitifs associés).
Atonie ou hypotonie du sphincter anal. Constipation.
Impuissance sexuelle.
L’étude du résidu post-mictionnel :
On demande au patient une miction « normale », puis un sondage vesical est réalisé, pour
connaître le volume d’urine résiduel dans la vessie. Il est pathologique au dessus de 50cc. Cet
examen est utile à visée médico-légale ! Il est toujours effectué en cas de doute, ou de
syndrome avéré, pour essayer de quantifier le degré d’atteinte des fonctions sphinctériennes.
après tu avais dit dans un post "
une atteinte des racines L2, l3 et L4 peut donner un syndrome de la queue de cheval mais c’est les racine sacrée S2, S3 et S4 qui donneront des troubles genito sphincterien de la queue de cheval si il sont touchés", mais lorsque les racines sacrées sont touchées et induiront (eux aussi) un trouble génito sphinctérien on fait pas plutôt référence à l'atteinte des racines du SNV parasympathique plutôt que aux racines du SNC sacrées comme tu le fais entendre dans ce post ?