Alors j'ai un petit problème de compréhension sur la correction de l'item B :
J'ai vu ce post https://www.carabinsnicois.fr/phpbb/vie ... on#p677403 et du coup j'ai bien compris que, comme on baisse les doses de morphine, le patient aura mal donc balance bénéfice-risque défavorable. En fait, j'ai juste un peu de mal avec la façon dont le prof corrige l'item : "Il faut expliquer au patient que le traitement par morphine dans son cas est exceptionnellement source d’addiction et peut le soulager".
Dans la ronéo 2, on explique bien que le risque de dépendance est l'une des causes de la faillibilité de la bienfaisance, et du coup, pour moi, qui dit faillibilité, dit rapport bienfaisance/non malfaisance défavorable. Est-ce que c'est une question de "rapport de force" (je sais pas comment dire autrement mdrr) : même si l'intention est de baisser le risque de dépendance (qui pour moi rendrait le rapport bénéfice-risque favorable), on fera du mal au patient en diminuant les doses (donc au final rapport bénéfice-risque défavorable parce que le soulagement a un poids plus important) ?
Si je fais un parallèle avec la balance bénéfice/risque dans la sédation en fin de vie où l'augmentation des doses de morphine amène au décès du patient (effet toléré), est-ce qu'ici on peut donc dire que l'effet recherché est le soulagement du patient et l'effet toléré est la dépendance ?
Et du coup est-ce que ça marche dans l'autre sens, par exemple : malgré le risque de dépendance aux antalgiques (qui rendrait le rapport bénéfice risque défavorable), on ne réduit pas les doses de morphine puisqu'il faut soulager la douleur du patient (donc rapport bénéfice-risque au final favorable parce que le soulagement a un poids plus important) ?
j'espère que j'ai été claire mdrr