Bonsoir!
Alors en fait, il faut prendre les tableaux l'un à la suite de l'autre:
Le patient vit la maladie
comme une blessure narcissique, une injustice, ou une faute (
1er "choix").
Ensuite, ses processus psychiques sont mobilisés, et le malade se dirige
vers la régression, la projection, ou la sublimation (
2ème choix). Et en gros c'est suite à ce 2ème choix qu'on va pourvoir dire si la dépression peut survenir ou non.
Donc tu peux très bien,
si tu vis la maladie comme une faute, et que tu te défends via la régression ou la projection, être déprimé.
Par contre,
si tu vis la maladie comme une faute, mais que tu l'acceptes et que tu rentres dans la sublimation, tu ne vas pas déprimer.
Si le patient vit la maladie comme une faute, il PEUT se sentir inutile, penser à se suicider.
C'est mieux comme ça?